domenica 6 novembre 2016

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SIMENON SIMENON. L'AGENDA DU COMMISSAIRE
Quelles sont les enquêtes menées par Maigret en novembre ?

SIMENON SIMENON. L'AGENDA DEL COMMISSARIO
Quali sono le indagini condotte da Maigret in novembre ? 
SIMENON SIMENON. THE CHIEF INSPECTOR'S DIARY
Which are the investigations led by Maigret in November?



 2 novembre. Ce billet anonyme est étrange. Marie vient de me réveiller, et je marche vers l'église, pour suivre la première messe. Si un crime est commis, qui pourrait bien être la victime ? (L'affaire Saint-Fiacre)

3 novembre. On vient d'appeler d'Ivry. Un drame a eu lieu chez les Lachaume, les fabricants de biscuits. Un souvenir d'enfance… Leur goût cartonneux, et ce matin pluvieux… Il y a des jours comme celui-ci où la perspective de la retraite me paraît finalement assez agréable… (Maigret et les témoins récalcitrants)

Novembre. Le vent souffle en tempête. Le télégramme m'annonce la venue à Paris du Letton. Une dernière pelletée de charbon dans mon poêle, et me voilà en route pour la Gare du Nord… (Pietr le Letton)

8 novembre. Je viens d'arriver à Concarneau, avec l'inspecteur Leroy. On a tiré sur un notable de la ville, et on a vu un étrange animal rôder dans les rues. Les gens ont peur, et la tempête n'arrange rien… (Le chien jaune)

Mi-novembre.  On a tiré sur Lognon, alors qu'il sortait d'une maison de l'avenue Junot. Mais qu'est-ce que le Malgracieux faisait chez la jeune Marinette ?! Et s'il avait été en train de surveiller la maison d'en face, où habite ce collectionneur de tableaux ?… (Maigret et le fantôme)

Novembre. On a découvert une jeune femme assassinée dans un immeuble de l'avenue Carnot. Qui a installé cette fille des rues dans ce luxueux appartement ? La femme de ménage m'a parlé d'un musicien qui serait l'amant de la victime, mais je me demande s'il n'y a pas quelqu'un d'autre… (Maigret se trompe)

19 novembre. Et voilà que Lognon a de nouveau fait des siennes ! C'est sa femme qui vient de me téléphoner, car son mari a soi-disant disparu, et des gangsters auraient pénétré chez elle. Dans quel pétrin le Malgracieux est-il encore allé se fourrer ?… (Maigret, Lognon et les gangsters)

24 novembre. Je n'y comprends rien… J'ai suivi cet homme depuis Bruxelles, à Neuschanz j'ai échangé nos valises, et à Brême, quand il s'en est aperçu, il s'est tiré une balle dans la tête. Et dans sa valise, il n'y avait qu'un vieux complet taché de sang, qui ne lui appartenait même pas… (Le pendu de Saint-Pholien) (by Simenon Simenon)

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PERCHE' NELLA VERSIONE DI SIMENON MAIGRET NASCE NEL SETTEMBRE DEL '29 A DELFZIJL?

E' ormai assodato che Maigret è stato costruito pian piano in vari romanzi prima del '29

POURQUOI DANS LA VERSION DE SIMENON, MAIGRET NAIT-IL EN SEPTEMBRE 1929 A DELFZIJL?
Il est désormais admis que Maigret a été construit petit à petit dans divers romans avant 1929
WHY IN SIMENON'S VERSION,  WAS MAIGRET BORN IN 1929 AT DELZFIJL?
It is accepted now that Maigret was built up bit by bit in various novels before 1929

Una versione per la stampa e per il pubblico? Certo contribuiva all'aura del personaggio una nascita letteraria un po' fuori le righe, in quella sosta per riparare la sua imbarcazione, a scrivere sulle rive del canale, con una cassa come sedia, una dove poggiare la macchina per scrivere, una per la bottiglia di vino, il tabacco, le pipe.... E quando nel bistrot a beveva qualcosa intravedeva fuori delle finestre, oltre alla luce del sole, una sagoma massiccia... cappello tondo...  pipa... Un'immagine confusa, sfocata ma che, come una matrice, impresse nell'immaginario di Simenon le caratteristiche del suo prossimo eroe. Poi sul fiume tra un "blanc" e una pipata, con le mani che correvano rapide sui tasti della macchina per scrivere, il personaggio prendeva una forma concreta.
Così Simenon accreditava la nascita del suo personaggio più riuscito, anche se ormai sappiamo che così non fu, perché il personaggio di Maigret e i suoi ispettori erano comparsi in precedenti romanzi: Train de nuit, La Jeune Fille aux perles, La Femme Rousse, La Maison de l'inquiétude... I ruoli non erano definiti, i caratteri non erano ancora maturati, mancava ancora quella svolta che fece dei Maigret una serie di un successo straordinario... ma le radici erano già nella terra...
A questa domanda, che gli fu posta da Francis Lacassin nel '75, Simenon rispose che "...erano dei semplici schizzi e soprattutto non considero quelle storie, non firmate con il mio nome, veramente appartenenti alla mia opera..."
E allora? Pensava che nessuno avesse letto quei romanzi? O che comunque un evento "fragoroso" come le Bal Anthropométrique avrebbe coperto tutto?
Ma come si sa, nella narrazione di Simenon alcune cose non sono reali, ma sono entrate di diritto nella leggenda  che lo segue e ormai sono tutt'uno con l'immagine dello scrittore e tra questi non poteva mancare la nascita di Maigret. (by Simenon Simenon)

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L'ENIGME DE MAIGRET

L'ENIGMA DI MAIGRET
Un piccolo gioco per i maigrettofili 
THE MAIGRET RIDDLE
A little game for the Maigret fans



Enigme no 9
L'inspecteur Janvier est un des personnages de la saga dont on connaît le plus de détails, en particulier sur sa famille, car on trouve dans les textes de nombreuses allusions à ses enfants (il en a quatre !). Sa femme apparaît aussi dans plusieurs romans, et on connaît même son prénom. Quel est-il et dans quel roman le trouve-t-on ? Un petit indice: c'est Maigret qui prononce ce prénom, alors qu'absent de Paris, il téléphone à Janvier pour lui demander un renseignement, et qu'il lui donne le bonjour pour sa femme… A vous de chercher ! La réponse la semaine prochaine dans ce magazine…

La soluzione dell'enigma no 8 
E' nel romanzo Maigret à New York che il commissario ritrova il capitano O'Brien, della Polizia federale, un uomo grosso, dai capelli rossi, con cui beve birra in un bar, poi degli aperitivi in un ristorante, del beaujolais mangiando un pollo al vino, concludendo il pasto con un armagnac e infine un whisky in un altro bar... Nulla di straordinario che, dopo tutto questo, il commissario sogni un gigante rosso... 
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sabato 5 novembre 2016

SIMENON SIMENON. L'ECLUSE N° 1 AU CŒUR DE L'HISTOIRE…


A propos de la parution du roman "L'écluse no 1" en feuilleton dans le journal "Paris-Soir" 

SIMENON SIMENON. LA CHIUSA N° 1 NEL CUORE DELLA STORIA… 
Si tratta de la pubblicazione del romanzo "La chiusa no 1" a puntata nel giornale "Paris-Soir" 
SIMENON SIMENON. THE LOCK  1 AT THE HEART OF HISTORY… 
About the publication of the novel "Lock No. 1" serialized in the newspaper "Paris-Soir "
  
En mars 1933, Simenon vient faire une escale dans sa maison de Marsilly, après un tour d'Europe, et avant de repartir pour découvrir la Turquie et la Mer Noire. En avril, il écrit ce qu'il pense être son dernier roman de la série MaigretL'écluse n° 1, dans lequel son commissaire est à deux doigts de la retraite. Le roman sera publié chez Fayard en juin, soit une année après le dernier Maigret paru chez le même éditeur (Liberty Bar). En effet, depuis lors, Simenon a réussi à faire accepter par Fayard les manuscrits de ses premiers "romans durs", dont quatre paraissent entre juin 1932 et mai 1933: Le passager du Polarlys, Les fiançailles de M. Hire, Le coup de lune, La maison du canal 
Mais, avant cette parution en volume, L'écluse n° 1 connaît une publication en préoriginale, dans le journal Paris-SoirLa parution commence le 23 mai 1933 et se poursuit jusqu'au 16 juin de la même année. Un avertissement publicitaire est fait une première fois le 20 mai, à la une, où l'on voit une photo d'une péniche abordant une écluse, et un texte qui annonce que la publication du "grand roman policier par Georges Simenon" débutera le lundi 22 mai. On remet ça le lendemain 21 mai, avec, en page 10, un premier extrait du roman, sous lequel paraît ce texte: "L'écluse n° 1 est le dernier roman de la célèbre série des «Maigret», le commissaire, héros de tant de romans fameux, et que l'écran a popularisé" 
Ironie du sort, dans le journal du même jour, paraît un article à propos de Hyacinthe Danse et Paul-Joseph Deblauwe, tous les deux inculpés d'assassinat, et anciennes connaissances de Simenon, qui est cité dans l'article en question: on dit de lui qu'il fut collaborateur au journal de Danse, Nanesse, une feuille de chantage. L'article ajoute que Simenon "rit aujourd'hui de ces étranges débuts, de cette collaboration accordée à deux hommes qui devaient, quelques années plus tard, être inculpés d'homicide volontaire". Peut-être Simenon en a-t-il alors effectivement ri, toujours est-il que quelques années plus tard il allait écrire le roman semi-autobiographique Les trois crimes de mes amis, qui parlait justement de Danse et Deblauwe… 
En attendant, le journal Paris-Soir du 22 mai, s'il promet une parution de L'écluse n° 1 pour le même jour, retarde celle-ci à l'édition du lendemain 23 mai, où débute réellement le feuilleton en page 11. La publication, comme dit plus haut, va se poursuivre jusqu'au 16 juin. Chaque parution est assortie d'un encart publicitaire proposant les autres titres de la série, mentionnant, par exemple: "Georges Simenon, Série des «Maigret», Le chien jaune, 6 fr., A. Fayard et Cie, Editeurs, Paris". Une fois tous les titres énumérés, les derniers numéros du feuilleton proposeront aussi les titres des "romans durs" parus chez Fayard.  
Deuxième ironie du sort: quand paraissent les deux derniers épisodes du feuilleton, dans le même journal est également publiée l'interview que Simenon, en tant qu'"envoyé spécial", a faite à Prinkipo, Chez Trotsky (sic)… 

Murielle Wenger

venerdì 4 novembre 2016

SIMENON SIMENON. OGGI A NEW YORK L'INCONTRO CON DENYSE OUIMET

Uno snodo fondamentale per la vita del romanziere appena stabilitosi in America

SIMENON SIMENON. AUJOURD'HUI À NEW YORK LA RENCONTRE AVEC DENYSE OUIMET)
Un tournant fondamental dans la vie du romancier, qui vient de s'établir en Amérique
SIMENON SIMENON. IN NEW YORK TODAY, THE MEETING WITH DENYSE OUIMET ?
A fundamental turning point in the life of the novelist, who has just established himself in America

Canadese del Quebec. Neanche 25 anni, una ragazza che sa il fatto suo. Decisa, ma fragile, un fascino tutto particolare. E' Denise Marie Pauline Françoise Ouimet. Per Simenon è la folgorazione. Il loro incontro, per motivi di lavoro (il romanziere cercava una segretaria-interprete visto che era appena arrivato in America e Denyse parlava sia il francese che l'inglese), sarà uno snodo fondamentale della vita di Georges, sia quella personale, ma anche quella letteraria.
Noi di Simenon-Simenon (e non solo noi) ne abbiamo scritto più volte del loro travolgente incontro iniziato con un colloquio di lavoro e finito in un letto. Un incontro il cui impatto si riverbera sulla produzione narrativa di Simenon, Trois chambres à Manhattan, che diverrà uno dei titoli più famosi dello scrittore. 
L'incontro tra i due innesca una miscela esplosiva. La passione di Georges sconfina con la gelosia, lei che lo asseconda nella sua sessualità, come mai Tigy aveva fatto. Denyse non solo rimane affascinata dall'uomo e dalla sua fama, ma intravede la possibilità di divenire il suo braccio destro, la sua assistente-amante, magari prima o poi insostituibile e forse chissà un giorno anche M.me Simenon.
Georges è senza difese. Subisce il fascino di quella donna giovane, lui che a più di quarant'anni ha già alle sue spalle una vita non comune. Famoso scrittore, inventore del popolare Maigret, ma raffinato romanziere coccolato da Gide e autore della scuderia Gallimard. Una brutta storia che lo insegue: quell'accusa di collaborazionismo con i nazisti, e la conseguente fuga in America. Sposato con la belga Tigy, con un figlio, Marc, e poi le leggende che si agitano come l'aria al suo passare, alcune vere altre no: l'uomo che fece innamorare Josephine Baker, l'autore che scrisse  un romanzo in una teca di vetro, lo scrittore capace di buttar giù ottanta pagine al giorno, l'uomo che cambiava casa come gli altri cambiavano il soprabito, il giornalista dei grandi reportage dai più sperduti luoghi esotici del mondo... Insomma anche Denyse aveva di che rimanere affascinata.
Dicevamo che la loro unione fu esplosiva. Per lei Simenon divorziò dalla prima moglie, anche se il loro matrimonio era ormai finito da anni. Lei lo assecondò nelle sue scorribande sessuali, sin dentro i bordelli. Lui spinto dalla gelosia volle che lei cambiasse il suo nome da Denyse in Denise... un modo per non chiamarla come i precedenti amanti l'avevano chiamata. Lei che, prima per necessità poi per protagonismo, man mano prese in mano tutte le relazioni esterne che il lavoro di Georges richiedeva, con editori, stranieri, produttori per diritti dei film dai suoi romanzi, con la stampa...  Lui, che pure era bravissimo a trattare i suoi interessi, la lasciava fare, come solo un'innamorato può permettere alla sua donna di prendere le redini dei propri affari.
E poi la famiglia. Denyse fu la madre di tre figli John, Marie-Jo e Pierre che rendeva felice lo scrittore che amava sentirsi contornato da persone che continuavano a ruotare intorno a lui, la prima famiglia (Tigy e Marc) la seconda (Denyse, John,Marie-Jo e Pierre) la sua femme de chambre storica Boule, una sorta di tribù che in vari periodi lo seguiva nei suoi continui spostamenti.
E poi la faccia nera di questa medaglia dorata. L'alcolismo prima e il precario equilibrio mentale di Denyse scombussolò non poco la vita di Simenon, lasciando dei rimpianti, delle cicatrici, anche delle battaglie legali... La fine della loro storia ebbe una brusca accelerata al ritorno in Europa e soprattutto negli anni sessanta, con Denyse che entrava e usciva dalle cliniche psichiatriche e con un deciso peggioramento fino all'ennesimo ricovero della donna che segnò nel '64 il suo definitivo abbandono di Georges e di tutta la famiglia. 
Fu un momento di crisi per Simenon che si ritrovò solo (i primi tre figli ormai grandi chi per lavoro e chi per studio non vivevano più con lui) e solo Teresa, entrata in casa Simenon come collaboratrice domestica lo sorreggeva diventando prima la sua compagna, ma poi anche il suo bastone della vecchiaia.
E tutto iniziò proprio il 4 novembre, a New York, poco più di settant'anni fa', quando, come scrisse Joyce Carol Oate, “...Simenon, il maestro dell’ironia... sopraffatto dalla sorpresa per quel che gli sta succedendo, soccombe a una romantica infatuazione di mezza età”. (m.t.)

giovedì 3 novembre 2016

SIMENON SIMENON. SIMENON AND IMPRESSIONISM

On the similarities between impressionist painting and Simenon’s literary output 

SIMENON SIMENON. SIMENON E L'IMPRESSIONISMO 
A proposito delle somiglianze tra la pittura impressionista e la produzione letteraria di Simenon  
SIMENON SIMENON. SIMENON ET L'IMPRESSIONNISME 
A propos des similarités entre la peinture impressionniste et la production littéraire de Simenon 



Simenon-Simenon recently featured a post by Murielle Wenger entitled ‘Ecrire comme un peintre’ (‘Writing like a painter’) in which she argues convincingly that in his use of colour and evocations of the effect of light, Simenon’s style reflects (a loaded term perhaps?) the techniques of the impressionist painters, an influence recognised on several occasions by the author himself. It is interesting to consider other similarities between impressionist painting and Simenon’s literary output. 
In their choice of subject matter, the impressionists, like Simenon, drew heavily on the everyday life of the moyenne and petite-bourgeoisie and the environments they depict are often urban landscapes (Sisley’s ‘Canal Saint-Martin’ and Pissarro’s ‘Le Boulevard Montmartre’), railway stations (Monet’s ‘Gare Saint-Lazare’ series), bars (Degas’s ‘L’Absinthe’), nightclubs and dance halls (Manet’s ‘Un Bar aux Folies-Bergères’ and Renoir’s ’Bal au Moulin de la Galette’), the guinguettes on the banks of the Seine (Renoir’s ‘Le déjeuner des canotiers’, Monet’s ‘La Grenouillère’) or seaside resorts and coastal and river ports (Monet’s ‘Jardin à Sainte-Adresse’ and ‘L’Hôtel des Roches Noires’, Pissarro’s studies of Dieppe, Rouen and Le Havre). All of these settings are familiar to readers of Maigret investigations such as Maigret et le corps sans tête,  Pietr-le-LettonLiberty BarLa Danseuse du Gai MoulinLa Guinguette à deux sous and Au Rendez-vous des Terre-Neuvas amongst others.  
A further similarity can be found in the working methods of the painters and the writer. The impressionists often painted in the open air to capture the ambiance of a scene, whereas their predecessors reserved the bulk of their work for the studio. Simenon’s first pulp novel Le Roman d’un dactylo was composed on the terrace of the café Au Rêve, the author claimed to have created the character of Maigret in a bar in the Dutch port of Delfzijl, the action of much of La Tête d’un homme’ takes place in Montparnasse below the windows of the Hôtel Aiglon, where Simenon composed the novel and the authenticity of the descriptions of Port-en-Bessin in La Marie du port owes much to the fact that Simenon wrote the novel while staying in the town at the Hôtel de l’Europe 
Like Simenon, who wrote most of his novels in about ten days with little preparation save a few notes scribbled on a yellow envelope, many of the impressionists worked very quickly and deigned to spend much time revising their work. In Simenon’s case, this sometimes led to careless inconsistencies such as Maigret’s apartment being located in the boulevard Edgar-Quinet in L’Ecluse no. 1, while in the case of the impressionists their hasty composition provoked the accusation that Monet’s ‘Impression, soleil levant’ was at most a sketch, and even supporters such as Zola, judged their work to have an ‘unfinished’ air.  
Both the impressionists and Simenon had an ambivalent attitude to the artistic and literary establishments. Manet, although regarded by the Impressionists as their spiritual leader never participated in their exhibitions, preferring to submit his works to the official Salon and urging others to do likewise. First Cézanne, followed by Renoir, Sisley, and Monet, abstained from the group’s exhibitions so they could present their canvases to the Salon. Simenon, although claiming to be indifferent to critical recognition, also secretly craved official acceptance and was bitter at never having been nominated for the Nobel prize. 
Yet there are also important differences. For some critics, much impressionist art is superficial, dealing only with visual experience and showing little interest in the lives and problems of real people, a charge that could never be levelled at Simenon. Moreover, impressionist paintings reflect an overwhelmingly optimistic world view, the viewpoint of a rising bourgeoisie, confident in the economic possibilities of capitalism with its attendant urban, industrial, scientific and intellectual advances. Simenon’s ideology, however, is shaped by the Great War, the rise of monopoly capitalism and socialism, and the economic recession of the 1930s. Within this context, Simenon’s own class of origin, the petite-bourgeoisie, felt its economic and social weight to be in decline and much of the author’s pessimism is related to this sense of a perceived existential threat.    

William Alder