domenica 4 dicembre 2016

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L'AGENDA DU COMMISSAIRE
Quelles sont les enquêtes menées par Maigret en décembre ?


SIMENON SIMENON. L'AGENDA DEL COMMISSARIO
Quali sono le indagini condotte da Maigret in dicembre ?
SIMENON SIMENON. THE CHIEF INSPECTOR'S DIARY
Which are the investigations led by Maigret in December?



15 décembre. Pourquoi a-t-on assassiné Oscar Chabut ? Une femme ou un mari jaloux ? Et cette drôle de secrétaire, en sait-elle plus qu'elle ne veut en dire ? Il faut que je retourne chez Mme Blanche: elle aussi a sûrement des choses à me révéler…  (Maigret et le marchand de vin)
25 décembre. Sans Mlle Doncoeur, nous n'aurions pas rencontré Colette… Bien sûr, elle ne sera pas tout à fait à nous, mais pour Louise, c'est comme une sorte de cadeau de Noël… (Un Noël de Maigret)

Pourquoi le mois de décembre est-il si calme pour les enquêtes ? Parce que les gens se préparent à la fête et ne pensent pas à s'entretuer ? Ou est-ce juste une impression que j'ai ? Ou est-ce que moi aussi, je suis pris par la nostalgie et que je n'ai pas envie de penser à autre chose qu'à mes souvenirs d'enfance… (by Simenon-Simenon)
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"LE MEMORIE DI MAIGRET"
Un commissario "scrittore" ci  racconta le sue memorie?

"LES MEMOIRES DE MAIGRET"
Un commissaire “écrivain” nous raconte ses mémoires ? 
"THE MEMORIES OF MAIGRET"
A inspector "writer" tells us about his memories?

Nel settembre del 1950, la nostalgia di Parigi e dei primi anni '30, quando era stato lanciato Maigret, doveva essere forte.
Non a caso pur nella sua bella fattoria americana nel Connecticut, "Shadow Rock Farm", Simenon s'inventa un Maigret davvero insolito. Il commissario infatti, ormai in pensione a Meug-sur-Loire, scrive le proprie memorie, rivolgendosi spesso al suo creatore. Insomma un gioco di specchi, dove Simenon immagina un Maigret che scrive una sorta di diario ricordando quel tale Georges Sim (Simenon stesso), che aveva conosciuto a Quai de Orfèvres quando lo scrittore era andato a documentarsi sulla vita dei poliziotti, sulle modalità delle indagini e sull'ambiente del Palazzo di Giustizia. 
Ma queste memorie, servono anche a rinsaldare il legame dello scrittore con il suo personaggio. E' quasi come se Simenon si sentisse in dovere di fornire al suo commissario un passato, delle radici e dei ricordi che ce lo rendano più familiare e Maigret infatti ripensa ai momenti salienti della sua adolescenza, a quelli più importanti della sua carriera, alla sua storia con M.me Louise, poi sua moglie... insomma una cornice umana e temporale che ci dà modo di osservare il commissario muoversi in un ambito più definito. Ma è anche l'occasione per Maigret di protestare con il suo autore perché (anche se ovviamente glielo fa dire lo stesso Simenon) ha raccontato sempre le indagini più complesse e quelle psicologicamente più interessanti, trascurando invece i tanti casi della routine quotidiana che anche per un Commissario Capo sono una buona parte del lavoro. Questo dà poi il via ad una serie di riflessioni sul ruolo del poliziotto, sul significato delle indagini, sulle finalità della giustizia... 
Dicevamo della nostalgia di Parigi. A quell'epoca sono cinque anni che Simenon vive negli Usa e una certa nostalgia si manifesta appunto con il riavvicinarsi e il riconsiderare affettuosamente il personaggio che gli ha dato fama e successo, che gli ha permesso di passare ai romans durs e che simboleggia gli anni ruggenti della sua vita francese e parigina (oltre ad avergli fatto guadagnare un bel po' di soldi). Queste "Memorie di Maigret" alla fin fine mostrano un tono (così piaceva a Simenonamichevole tra il poliziotto e lo scrittore... sì, proprio come due vecchi amici che si frequentano da una vita. (by Simenon-Simenon)
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L'ENIGME DE MAIGRET

L'ENIGMA DI MAIGRET
Un piccolo gioco per i maigrettofili 
THE MAIGRET RIDDLE
A little game for the Maigret 

Enigma no 13
Alcuni commentatori dell'opera simenoniana hanno talvolta accusato Maigret di essere poco ferrato in lettere, e di non conoscere niente di letteratura... Giudizio un po' affrettato... Intanto, siccome è andato al liceo (a Moulins), ha probabilmente dovuto seguire dei corsi in letteratura... Inoltre si conoscono anche alcune delle sue letture: le memorie di Fouché o Alessandro Dumas.... Ancor meglio: Maiget è capace di recitare a memoria una poesia di Ibsen.... In quale romanzo dimostra questa sua conoscenza? Sta voi cercarlo! La risposta la settimana prossima in questo magazine... 

Solution of the riddle No. 12
It's in Maigret's holiday, taking place in Les Sables-d'Olonne, that the chief inspector, looking for Mme Bellamy's friend, enters the shop to ask whether someone had seen her walking down the street.
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sabato 3 dicembre 2016

SIMENON SIMENON. DE VIGNEAU A YANTCHEVSKY, ROMANS EN PHOTOS

A propos des couvertures photographiques des romans de Simenon

SIMENON SIMENON. DA VIGNEAU A YANTCHEVSKY, ROMANZI IN FOTO
A proposito delle copertine fotografiche dei romanzi di Simenon
SIMENON SIMENON. FROM VIGNEAU TO YANTCHEVSKY, NOVELS IN PHOTOS
About the photographic covers of Simenon's novels


Lorsque Simenon lança sa nouvelle collection de romans policiers, il ne se contenta pas de l'inaugurer par une opération inédite de publicité en conviant le tout-Paris à son Bal anthropométrique de février 1931, mais il eut aussi une idée de marketing originale: il voulut que ses Maigret soient présentés sous une couverture photographique. Il se renseigna sur les coûts, puis montra à Fayard les calculs qu'il avait faits, et l'éditeur remarqua: "- Je ne vois pas pourquoi vous prévoyez cinq cents francs pour les couvertures. Un bon dessinateur vous en fera pour cent francs, un dessinateur moyen pour cinquante. D'ailleurs, je n'ai pas encore vu de livres à couvertures photographiques." Et Simenon répliqua: "C'est pourquoi j'ai choisi cette formule." C'est comme cela que le romancier présente les choses dans ses Mémoires intimes, racontant aussi qu'il avait passé du temps à regarder les devantures des librairies, et qu'il s'était rendu compte qu'il y avait deux façons de présenter un roman: soit une couverture unie, le plus souvent jaune, et qui "faisait sérieux", ou alors blanche pour la prestigieuse NRF; soit une couverture "bariolée ou dessinée", pour les romans populaires. Le choix de Simenon semblait donc logique: les Maigret étant à mi-chemin entre la littérature populaire et la littérature "tout court", il leur fallait une couverture différente, d'où l'idée de la photographie, plus "chic" que le dessin bon marché, mais moins "classieux" que la couverture unicolore. Et, comme l'écrit encore Simenon, "les Maigret ont été les premiers livres enrobés d'une photographie qui recouvrait non seulement une face, mais s'étendait sur les deux en passant par le dos." A personnage original, couverture inédite…
Une fois cette décision prise, il s'agissait de trouver le photographe capable de réaliser le travail, et un travail de qualité, car Simenon était exigeant en la matière, et avait des idées bien arrêtées sur ce qu'il voulait. Heureusement, il connaissait le photographe André Vigneau, qui travaillait déjà sur les photos publicitaires et les couvertures de magazines. Vigneau était directeur artistique de l'imprimerie Lecram, celle qui faisait le travail d'impression pour Fayard, raison pour laquelle c'est ce nom qui apparaît au crédit photographique des premiers Maigret. Les deux hommes s'entendirent bien, Simenon faisant suggestions et propositions, et Vigneau réalisant les photographies selon ces suggestions. D'après les recherches de Michel Carly (voir son essai Les secrets des «Maigret», édité par les Amis de Georges Simenon), Vigneau a réalisé les couvertures de Pietr le Letton, Le charretier de la Providence, La tête d'un homme, Le chien jaune, Le pendu de Saint-Pholien. Pour Le charretier de la Providence,  c'est Simenon lui-même qui était aller dénicher un clochard pour l'emmener au studio, où on l'avait photographié aux côtés d'un cheval blanc pommelé… Vigneau engagea par la suite d'autres photographes,  qui deviendront célèbres: Robert Doisneau et Man Ray. Le second, d'après Simenon dans ses Mémoires intimes, aurait réalisé la couverture de Un crime en Hollande, "à l'aide d'un bateau et d'un moulin à vent en papier". Quant à Doisneau, on ne sait pas exactement quelles couvertures il illustra pour les premières éditions des Maigret, mais par contre, il signa plusieurs couvertures de la série rééditée dans les années 1950 (voir www.enquetes-de-maigret.com/bibliofayard1.htm): La danseuse du Gai-Moulin, Liberty Bar, L'écluse no 1, mais aussi celle pour Les treize coupables.
Après l'étape chez Gallimard, où les romans de Simenon parurent sous une couverture sobre, ce fut le passage aux Presses de la Cité. Les premiers romans publiés chez cet éditeur avaient des jaquettes illustrées, puis, dès 1950, on revint à des couvertures photographiques, ce qui, sans doute, ne devait pas déplaire à Simenon. Les recherches de Michel Carly et de Pierre Assouline montrent que le romancier était particulièrement attentif à ces couvertures, et les deux biographes citent plusieurs extraits de lettres que Simenon échangeait avec Nielsen sur ce sujet. Entre 1950 et 1957, les Maigret et les romans durs furent édités avec une couverture photographique en noir et blanc, où le nom de l'auteur apparaissait en blanc pour les Maigret, le nom du commissaire étant aux couleurs de l'arc-en-ciel, tandis que pour les "romans durs", le nom de l'auteur était en rouge. Cette très belle série est l'œuvre de Nicolas Yantchevsky, dont la Bibliothèque Nationale de France vient de présenter le travail dans une exposition qui ferme ses portes demain. Vous trouverez quelques informations à ce sujet sur cette page: www.enquetes-de-maigret.com/yantchev.htm. Simenon, très attentif à la bienfacture de ces couvertures, se réservait le choix final, et en cela aussi, il montra combien il avait compris l'importance du marketing dans la vente d'un livre. En effet, le lecteur ne se laisse pas guider uniquement par le titre ou le nom de l'auteur, mais l'aspect du livre lui-même, et en particulier l'image de la couverture, a aussi son importance.
Et ne peut-on dire que, mis à part les dessinateurs de talent qui exécutèrent des couvertures pour ces romans, tels Ferenc Pinter pour l'Italie, ou Dick Bruna pour les Pays-Bas, les couvertures photographiques se prêtent très bien pour les romans Maigret, et leur donnent un charme qui joint le plaisir du collectionneur compulsif à celui de retrouver, dans les illustrations, les détails bien connus des lecteurs ? On en veut pour preuve la dernière série en date, publiée au Livre de Poche: que l'on aime ou non ces illustrations, on peut au moins leur reconnaître le mérite d'une certaine recherche artistique… 

Murielle Wenger

venerdì 2 dicembre 2016

SIMENON SIMENON. MA PERCHE' MAIGRET SUL GRANDE SCHERMO NON HA (QUASI) MAI "SFONDATO"?

Gabin a parte, nessun successo per il commissario al cinema

SIMENON SIMENON. MAIS POURQUOI MAIGRET N'A (PRESQUE) JAMAIS "PERCE" SUR LE GRAND ECRAN ?
A part Gabin, aucun succès pour le commissaire au cinéma
SIMENON SIMENON. BUT WHY DIDN’T MAIGRET (ALMOST) EVER  “MAKE IT” ON THE BIG SCREEN?
Except for Gabin, no success in the movies for the chief inspector


Chi ha letto il post di domenica scorsa sul Magazine Maigret sapeva che ci eravamo posti il problema e che avevamo in animo di trattarlo in uno spazio più congruo.
Iniziamo dalla domanda che ci siamo sempre fatti. Simenon, ormai si sa, è stato uno scrittore molto amato dal mondo cinematografico. Non è un caso infatti che una sessantina di film siano stati tratti dai suoi romanzi, a partire dal primo nel 1932 (La nuit du carrefour - Jean Renoir) fino all'ultimo nel 2014 (La chambre bleu - di e con Mathieu Amalric). Se li andiamo ad analizzare ci accorgiamo che solo una quindicina sono quelli tratti dalle inchieste dei commissario Maigret, mentre la stragrande maggioranza sono basati sui romans durs.
Eppure i Maigret erano e sono i più conosciuti e sono anche stati i più venduti. E allora? Come mai il cinema non ne è stato attratto, o perlomeno in misura assai minore dei romans durs
Eppure il personaggio è molto popolare, ha una sua fisionomia originale, vanta un certo appeal, le sue inchieste non sono troppo lunghe o troppo intricate per essere sceneggiate per il cinema, oltre al meccanismo giallo ci sono temi e argomenti che potrebbero essere congeniali ad una versione cinematografica. Questo non significa che sia stato ignorato. 
La figura del commissario simenoniano è stata infatti portata sul grande schermo da registi come il citato Jean Renoir, da Julien Duviver, da Jean Delannoy... e tra gli interpreti di Maigret ci sono stati fior di attori, da Jean Gabin ("attore simenoniano" anche per i film tratti dai romans durs), ad altri come Charles Laughton, Gino Cervi, Michel Simon...
Insomma i presupposti c'erano tutti, ma... ma il grande successo che ci si poteva aspettare non arrivò mai. Perché?
Intanto crediamo che il personaggio di Maigret sia ben più complesso di come appare con i suoi modi burberi e la sua stazza massiccia. Maigret non è solo pipa, calvados, panini e birra della Brasserie Dauphine. Si tratta di un personaggio che presenta un suo spessore psicologico, una certa profondità, ma anche contraddizioni, chiaro-scuri che rendono il personaggio più problematico di quanto sembri. Quindi la sua trasposizione cinematografica o è stata superficiale o ha da subito presentato delle difficoltà che probabilmente hanno dissuaso registi e sceneggiatori (quelli che pensavano ad una produzione facile e leggera) a misurarsi con tali complessità.
Nei serial, letterari e televisivi, un certo numero di episodi e di puntate permettono di costruire il personaggio gradualmente. Ma nei circa 100 minuti di un'opera cinematografica, diventa più difficile profilare il protagonista con le dovute sfumature. 
D'altra parte attori con un carriera alle spalle ed una fama consolidata, come il citato Jean Gabin, finivano per sovrapporre la loro immagine e la loro recitazione al profilo e alla figura del commissario. Anche per Gino Cervi poteva essere un po' la stessa cosa: grande carriera al teatro, al cinema e in televisione prima di approdare ad interpretare il commissario. Anche Cervi un personaggio famoso, ma... ma nel suo caso c'era alle spalle il notevole successo della serie televisiva sul commissario e quindi un lavoro di 
identificazione con il personaggio simenoniano. Eppure anche il suo Maigret a Pigalle cinematografico non funzionò. Qui furono altri i motivi, probabilmente l'esigenza di adattarlo ai ritmi e alle trame del giallo cinematografico in voga all'epoca.
Forse nel caso specifico fu fatto lo stesso tipo di errore che Fayard fece quando Simenon gli presentò il personaggio di Maigret. Ricordate? Disse che era destinato al fallimento, non era un brillante, non era un detective d'azione, non aveva storie con belle donne... insomma non rispettava i canoni del giallo di successo degli anni '30. 
Anche nei film, pur senza generalizzare, visto che Maigret era un personaggio da grande pubblico, forse si pensò che anche al cinema dovesse rivolgersi a platee più che numerose e quindi il tipo di film che andava proposto doveva seguire gli stili della cinematografia gialla e poliziesca della seconda metà degli anni sessanta (ma non ancora sessantottina). 
Ma così non funzionava. Dobbiamo qui ricordare che Maigret era stato una rivoluzione nel giallo letterario degli anni '30 e questa fu la forza del suo successo. Un taciturno funzionario dello stato, non un loquace detective privato. Un commissario che non correva appresso alle giovani donne, ma a casa a gustare il pranzo di sua moglie. Un pantofolaio e non un frequentatore del jet-set o di locali alla moda. Un investigatore che risolveva i casi "sentendo" le situazioni, osservando gli ambienti e con lunghi interrogatori, invece di tuffarsi in inseguimenti in auto, in sparatorie e in scazzottate. 
Forse l'errore del cinema è stato questo: voler snaturare il personaggio nella speranza di farlo piacere ad un pubblico più vasto possibile. Al contrario della televisione che con i suoi tempi più lunghi, grazie agli sceneggiati in varie puntate, poteva essere più fedele alla cadenza della versione letteraria, al personaggio e alle suo modo d'indagare. 
Insomma forse se al cinema ci fosse stato un Maigret con meno "giallo" e con più "Simenon", avrebbe funzionato di più e meglio.
Probabilmente ci sarebbero altri elementi da prendere in considerazione  per spiegare il "non-successo" di Maigret al cinema, ma forse questo può essere un buon inizio e sicuramente é già abbastanza per gli spazi di un post di un blog come il nostro. (m.t.

giovedì 1 dicembre 2016

SIMENON SIMENON. “MAIGRET AND THE TALL WOMAN": INSPECTOR MAIGRET COMES OUT ON DECEMBER 1

Some details about the next Penguin translation for Anglophones. 

SIMENON SIMENON. “MAIGRET ET LA GRANDE PERCHE” EN ANGLAIS ARRIVE LE 1 DECEMBRE 
Des détails sur la prochaine traduction de Penguin pour les anglophones 
SIMENON SIMENON. "MAIGRET E LA GRANDE PERCHE" IN INGLESE ESCE IL 1° DICEMBRE
Alcune informazioni sulla prossima edizione della Penguin per gli anglofoni

Maigret and the Tall Woman, Penguin’s English translation of Simenon’s Maigret et la grande perche, will be available through Amazon.uk as of December 1, 2016. Both paperback and Kindle editions are expected. Preorder options already exist, so one does not have to wait to get onboard.
The opportunity for delivery to the USA and Canada will appeal to some because neither the paperback nor the Kindle editions will be available through either country’s Amazon facility until July 4, 2017.
In contrast, December 1, 2016 is the release date for the following other Amazon sources: Australia Kindle; France Kindle; Germany Kindle; Italy paperback and Kindle; Netherlands Kindle; Spain Kindle.
Unfortunately, the later July 4, 2017 release date pertains to these remaining Amazon sources: Brazil Kindle; China paperback; France paperback; Germany paperback; India Kindle; Japan paperback and Kindle; Mexico paperback and Kindle; Spain Kindle.
Be aware the ISBN-13 for this new edition is 978-0241277386, which should facilitate searching for the book from various other sources. 
An audio version from Audible.com is not yet visible on the horizon. 
Maigret et la grande perche originally appeared in 1951, but the English translation Maigret and the Burglar’s Wife did not first appear until 1955. Its translator was J. Maclaren-Ross then, and now the translator is David Watson.
This work was the 66th in Simenon’s original order of publication and is the 38th in Penguin’s modern series of translations. 
This book appealed to me for these features in particular: the reported bloody body that triggers the investigation is missing when the police show up. Shooting and poisoning issues affect seven characters in one way or another. Maigret deals with four potential liars. Maigret displays his medical knowledge. Justice rules. 

David P Simmons 

martedì 29 novembre 2016

SIMENON SIMENON. IL ROMANZIERE E LA GESTIONE DEI DIRITTI

I (pochi) collaboratori che affiancarono Simenon

SIMENON SIMENON. LE ROMANCIER ET LA GESTION DES DROITS

Les (quelques) collaborateurs aux côtés de Simenon
SIMENON SIMENON. THE NOVELIST AND COPYRIGHTS MANAGEMENT
The (few) collaborators at Simenon's side 


Madame Joyce Aitken
Sin dagli anni venti Simenon iniziò a contrattare in prima persona la vendita dei diritti e   la gestione dei proventi delle sue opere senza volersi avvalere dell'ausilio di intermediari.
In alcuni momenti della sua carriera, però, decise di servirsene; i risultati ,tuttavia, non furono esaltanti. 
Nel 1938 affidò la gestione dei suoi diritti cinematografici a Denise Batcheff-Tial ma non rimase soddisfatto di questa collaborazione.
Ci riprovò nel 1945 : allorchè parti' per gli Stati Uniti lasciò ad un procuratore la gestione dei suoi affari. Questa persona si rivelò ben presto essere però un truffatore. Nel '51 quando si trattò della cessione dei diritti dell'adattamento cinematografico de “Le témoignage de l'enfant de choeur” incaricò della gestione Georges Robert specificando che questi doveva solo ricevere le somme pattuite senza avere ad alcun titolo la gestione dei diritti. Non fu tuttavia una collaborazione che durò nel tempo. La pellicola uscì l'anno successivo con l'adattamento curato da Jacques Companeez nel film a episodi "Brelan d'as" di Henri Verneuil come terzo anello del film che comprendeva due realizzazioni tratte da opere dello scrittore belga Stanislas-André Steeman e di Peter Cheney. Più avanti, quando cioè si era già trasferito in Svizzera da qualche tempo (metà degli anni sessanta circa), Simenon si affidò per un ventennio alla quarantenne Joyce Aitken che divenne la sua segretaria e portavoce: possiamo affermare che questa fu l'unica collaborazione veramente soddisfacente e proficua per lo scrittore e che scomparve nel 2004. 

Andrea Franco