venerdì 12 marzo 2021

SIMENON SIMENON WEEKEND - DA OGGI IL QUARTO NUMERO



Quarto numero e un primo mese di vita. Il nostro supplemento del weekend, almeno a stare alle reazioni dei lettori, sta piacendo, forse anche per il suo taglio monografico che permette di approfondire argomenti meglio che in un post. Da oggi  quindi il nuovo numero sarà online, come ogni venerdì. Non vogliamo scoprirci troppo con il tema trattato, ma possiamo dire che riguarda un periodo della vita del romanziere molto importante per la sua produzione, ne quale farà molte esperienze sia per quanto riguarda la scrittura che per la conoscenza del mondo editoriale. Quasi quasi potremmo dire Simenon sia nato scrittore, ma non è così o perlomeno non è proprio così. C'è comunque un mestiere da imparare ed esperienze da accumulare. Ma non diciamo di più... Vi lasciamo scoprire tutto questo direttamente in questo numero

SIMENON SIMENON WEEKEND – AUJOURD'HUI LE QUATRIÈME NUMÉRO

Quatrième numéro et un premier mois de vie. Notre supplément du week-end, à voir du moins les réactions des lecteurs, semble plaire, peut-être aussi grâce à sa formule monothématique, qui permet d'approfondir des arguments mieux que dans un billet unique.
Dès aujourd'hui donc le nouveau numéro sera en ligne, comme chaque vendredi. Nous ne voulons pas en dévoiler trop sur le thème traité, mais nous pouvons dire qu'il est consacré à une période de la vie du romancier très importante pour sa production, lors de laquelle il fera de nombreuses expériences, autant en ce qui concerne l'écriture que la connaissance du monde éditorial. On aurait presque pu dire Simenon est né écrivain, mais en réalité il n'en est pas ainsi, ou du moins pas tout à fait. Car il s'agit d'un métier à apprendre et d'expériences à accumuler. Mais n'en disons pas davantage… Nous vous laissons découvrir tout cela directement dans ce numéro. Bonne lecture !

giovedì 11 marzo 2021

SIMENON SIMENON "REPORT" - C'ERA UNA VOLTA IL BAR

Rivista Studio - 09/03/2021 -  Davide Coppo - Sono le cinque del mattino al bar Maxim’s, uno dei club più in voga di Bucarest. Davanti a una schiera di bottiglie di champagne, il trentenne Georges Simenon inizia a parlare con un uomo seduto vicino a lui. Non scorre, a quell’ora, soltanto vino francese, ma whisky e altri superalcolici, eppure l’atmosfera non è quella che ci si potrebbe immaginare dopo una notte di eccessi: anzi, si respira «un clima piacevolmente rilassato», in cui Simenon individua artisti, un magistrato ed esperto di diritto internazionale, un dotto rumeno, un ex ministro. È una scena descritta con più dettagli in Europa 33, una raccolta di reportage di viaggio scritti da Simenon dal Belgio a Istanbul in un anno cruciale per il mondo, in cui lo scrittore misura il polso al continente in equilibrio precario tra le due guerre. Non è un episodio fondamentale, ma apre una finestra su un mondo – quello dei caffè, dei bar, dei ristoranti e dei club – che per oltre un secolo è stato il laboratorio in cui si progettavano le innovazioni politiche, culturali, economiche e sociali dell’Europa...>>>

martedì 9 marzo 2021

SIMENON SIMENON. DENIS TILLINAC, LECTEUR PASSIONNÉ DE SIMENON

L'admiration de Tillinac pour Simenon et l'influence du second sur le premier

DENIS TILLINAC, LETTORE APPASSIONATO DI SIMENON
L'ammirazione de Tillinac per Simenon e l'influenza del secondo sul primo


Le romancier et essayiste Denis Tillinac, disparu le 26 septembre dernier, était un grand lecteur de Simenon. Son essai Le Mystère Simenon, paru en 1980 aux éditions Calmann Lévy, réédité dans la collection La Petite Vermillon en 2003, est une analyse originale de l’œuvre de Simenon et en même temps un exercice d’admiration. Ce que l’on sait moins, c’est que Denis Tillinac ne perdait pas une occasion de faire allusion à Simenon dans ses propres romans et même dans les essais qu’il a signés, notamment aux éditions de La Table Ronde.
Déjà dans Le Rêveur d’Amériques, paru la même année que son essai sur Simenon, Ricky, le héros du roman, séjournera à Port-en-Bessin « un petit port de pêche de la côte normande – parce que Simenon y avait inscrit diverses intrigues ». Dans Spleen en Corrèze (1984), Tillinac raconte ses premières expériences de journaliste localier et pense au romancier belge : « J’ai choisi ce métier parce qu’il m’introduit au cœur des choses sans exiger de moi la moindre adhésion (…) Ma présence aux « événements » dont je rends compte dans La Gazette ressemble à l’attitude des héros de Simenon. Comme moi, ils subissent avec une indifférence pâteuse la donne du monde extérieur. Ils ne jugent jamais. Juger quoi, au nom de quoi ? ». Quelques années plus tard, dans L’Irlandaise du Dakar, en 1986, il évoque l’Afrique coloniale de Simenon, certes différente de celle qu’il découvre sur la course du Dakar. Et dans Un léger malentendu, roman qui revient sur les événements de mai 68, le narrateur fuit la capitale sur son solex et reprend le chemin de Moulins, au cœur de sa campagne bourbonnaise : « Nous allions à Paray-le-Frésil, reconnaître les décors de L’Affaire Saint-Fiacre de Simenon, qui a peint d’après nature le déclin des aristos bourbonnais ».
Lors de la disparition de Simenon en septembre 1989, Tillinac signe un bel hommage au romancier belge dans L’Evénement du jeudi qui commence par ces mots : « J’ai découvert Simenon à l’âge où l’on cherche dans les livres de quoi comprendre son époque et il m’a semblé que les vicissitudes de la conscience moderne se reflétaient dans la fausse platitude de ses romans, plus crûment que chez les théoriciens de l’absurde ou de la "déconstruction" ». Dans ses essais, Tillinac ne manque jamais de faire allusion à Simenon, avec par exemple un canal, décor privilégié de nombreux romans simenoniens (Dernier verre au Danton, 1996). À l’occasion d’un séjour à Cayenne, il écrit Le Bar des palmistes (1997), et dans la torpeur de cette ambiance moite, l’œuvre de Simenon n’est pas loin : « Rien n’a d’importance au Bar des palmistes : on y ressent cette vacance de l’être si bien décrite par Simenon dans ses romans tahitiens, Touristes de bananes ou Le Passager clandestin ». Dans Les Masques de l’éphémère, publié en 1999, l’hommage à Simenon est patent : « Simenon a sans doute achevé l’histoire de nos littératures en peignant sur le vif un antihéros qui synthétise l’homme sans qualités de Musil, le Meursault de Camus et le Roquentin de Sartre : une concrétion déracinée, socialement équivoque comme le petit bourgeois, comme lui flouée de l’histoire, et comme lui fétu girouettant au gré des pulsions innommables ».On pourrait citer bien d’autres exemples dans l’œuvre de Denis Tillinac : son admiration pour Simenon est constante au cours de quarante ans d’écriture. Le jeune journaliste s’était fait remarquer après la publication de son Mystère Simenon en 1980. Peu après sa disparition, son dernier livre est paru aux Presses de la cité, Le Patio bleu (novembre 2020). Ce roman lucide et désenchanté contient les thèmes chers à Tillinac et dans cet ultime regard sur notre société, Simenon n’est pas absent, comme en témoigne cet extrait où le narrateur fait partager ses goûts littéraires à un ami : « Mon seul titre de gloire aura été de l’initier à Simenon. Par curiosité, j’avais acheté Le Grand Bob, toujours chez un bouquiniste, je n’avais pas les moyens de m’offrir des livres neufs. Ce roman m’avait subjugué. J’en ai lu d’autres, par dizaines. J’ai prêté Trois chambres à Manhattan à Fabrice et sa conversion fut immédiate. Pendant des mois nous avons vécu dans le sillage ombreux de Simenon, hantant la nuit venue les bars à entraîneuses de Montmartre, pour l’ambiance. » Dans toute son œuvre, Denis Tillinac a fait surgir Simenon, pour traduire une atmosphère, pour évoquer un lieu, et surtout pour évoquer les inquiétudes et les angoisses de l’homme de son siècle.
Bernard Alavoine

sabato 6 marzo 2021

SIMENON SIMENON WEEKEND N°3 - GLI INCIPIT - LES INCIPITS

COLPEVOLE, PREDESTINATO O INNOCENTE ? • 
La colpevolezza è una cosa troppo seria e complicata per lasciarla in mano ai magistrati giudicanti. Questa, in maniera un po’ cruda e decisamente sintetica è l’idea che Simenon aveva sulla corrente amministrazione della giustizia. “...Credo che non esistano dei colpevoli. - spiega il romanziere - L’uomo è un essere talmente poco attrezzato per affrontare la vita che parlare di una sua colpa è quasi farne un superuomo. Come può essere colpevole?...”.

MAIGRET AU TRIBUNAL • Lorsque Maigret mène une enquête, ce qui l’intéresse, c’est de découvrir la personnalité de ceux qui sont impliqués dans un crime, de traquer la part d’humanité dans un suspect ou un coupable. C’est donc avant tout une enquête psychologique, et le côté judiciaire a moins d’importance pour lui. Ce qui fait que tout l’appareil des procès le met mal à l’aise, et s’il est obligé d’y assister, c’est souvent contre son gré.

COMPRENDERE E NON GIUDICARE • ... Non credo ai criminali, alla responsabilità di alcun criminale. Li trattiamo come non umani. Li mettiamo in celle di contenimento. Li rinchiudiamo in vere gabbie, come delle belve. Sono i medici e gli psicologi che dovrebbero giudicare gli uomini e non dei magistrati. O invece, - siccome si fanno degli stages in tutti i mestieri - bisognerebbe che prima di poter giudicare gli altri, i magistrati passassero sei mesi in una prigione, come detenuti...

DEUX POINTS DE VUE SUR LA JUSTICE , MAIS UN SEUL ET MÊME CONSTAT • Les questionnements de Simenon sur le fonctionnement de la justice trouvent une illustration dans plusieurs romans où il décrit un procès au tribunal. Par exemple Cour d’assises (1937) et Les Témoins (1954). Dans le premier, le point de vue est placé du côté de l’accusé, tandis que dans le second, nous sommes du côté du président de la cour

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venerdì 5 marzo 2021

SIMENON SIMENON. TERZO APPUNTAMENTO CON "WEEKEND" - TROISIÈME RENDEZ-VOUS AVEC "WEEKEND"



Simenon e la giustizia, Maigret e la legge, un incrocio di personaggi, situazioni e idee che riveste un'importanza particolare nell'opera del romanziere e
nella pratica quotidiana del lavoro del commissario.
Questa la tematica che il n° 3 di Simenon Simenon Weekend tratta, scavando nelle convinzioni dello scrittore e nella loro conseguenza nei Maigret, ma anche nei romans durs. Giustizia e legge coincidono sempre? Un interrogativo che potremmo definire eterno. Intanto adesso buona lettura del nostro speciale settimanale, con l'augurio che vi piaccia e nella speranza che continuiate a farci pervenire le vostre impressioni e i vostri suggerimenti.

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Simenon et la justice, Maigret et le droit, un carrefour de personnages, de situations et d'idées qui revêt une importance particulière dans l'œuvre du romancier et
dans la pratique quotidienne du travail du commissaire.
C'est le thème que traite Simenon Simenon Weekend n° 3, en creusant les convictions de l'écrivain et leurs conséquences dans les romans Maigret, mais aussi dans les romans durs. La justice et la loi coïncident-elles toujours ? Une question que l'on pourrait définir comme éternelle. En attendant, profitez de la lecture de notre numéro spécial hebdomadaire, dont nous espérons qu'il vous plaira et que vous continuerez à nous faire part de vos impressions et suggestions.

giovedì 4 marzo 2021

SIMENON SIMENON. DA DOMANI IL NUOVO NUMERO DI "SIMENON SIMENON WEEKEND"


Domani nuovo appuntamento con il settimanale di "Simenon-Simenon". Siamo arrivati al terzo numero e vogliamo innanzitutto ringraziare i lettori per l'accoglienza che hanno manifestato nei confronti di questa nuova iniziativa. Il tema trattato nel numero di domani sarà uno di quelli cruciali sia per le convinzioni di Simenon, sia per i comportamenti e le decisioni adottate dal commissario Maigret. E' un tema quindi trasversale che accompagna la vita dello scrittore e che è presente in molte sue opere.

ET NOUS VOILÀ DEJÀ AU TROISIÈME NUMÉRO

Demain nouveau rendez-vous avec l'hebdomadaire "Simenon-Simenon". Nous sommes arrivés au troisième numéro et tout d'abord nous tenons à remercier les lecteurs pour l'accueil qu'ils ont réservé à cette nouvelle initiative. Le sujet traité dans le numéro de demain sera l'un des plus cruciaux tant pour les convictions de Simenon que pour le comportement et les décisions adoptées par le commissaire Maigret. C'est donc un thème transversal qui accompagne la vie de l'écrivain et qui est présent dans nombre de ses œuvres.

mercoledì 3 marzo 2021

SIMENON SIMENON "REPORT" - 1963, GEORGES SIMENON: "MAIGRET N'EST PAS INTELLIGENT, MAIS INTUITIF"

En 1963, Georges Simenon, le créateur de ce héros littéraire acceptait de dressait le portrait de son flic préféré.
                                   

INA - 29/07/2020 - Ina/Art et Culture Littérature En 1963, Georges Simenon, le créateur de ce héros littéraire acceptait de dressait le portrait de son flic préféré.Le 21 décembre 1963, dans l'émission Portrait souvenir de Roger Stéphane, l'écrivain Georges Simenon, l'auteur des Maigret dévoile la personnalité de son héros, telle qu'il l'a imaginée. Debout et la pipe à la main, il imite et mime certains comportements de l’enquêteur. D'emblée, il le décrit comme quelqu'un "qui extérieurement n'impressionne pas du tout, il poursuit, c'est un homme très ordinaire, d'une culture moyenne, même en dessous de la moyenne, mais qui a le sens de renifler l'intérieur des gens".
Georges Simenon accepte de décrire comment Maigret doit se mouvoir. Il évoque ensuite son absence de sentimentalité. Il dépeint ses attitudes sur les lieux d'un crime, lors d'un interrogatoire, dans ses rapports avec ses inspecteurs, notamment son adjoint Janvier et avec Madame Maigret, "ils s'aiment assez pour supporter le silence."...>>>

martedì 2 marzo 2021

SIMENON SIMENON. UN MAIGRET SUR LES ONDES...

Simenon et l’hebdomadaire Les Ondes :parution en feuilleton de La Maison du juge

SIMENON SIMENON. UN MAIGRET SULLE ONDE...
Simenon e il settimanale Les Ondes: pubblicazione in "feuilleton" de La Maison du Juge


Dès l’automne 1940, Simenon quitte Nieul pour s’installer en Vendée. Les Allemands ont envahi la France, aussi l’auteur passera-t-il plusieurs années dans cette partie de la France qu’il aime tant. La vie y est agréable mais les finances le sont moins ; les mandats de ses éditeurs se font rares et Georges, qui doit assurer le bien-être de sa famille d’une part et payer le loyer, modeste il est vrai, du château de Fontenay-le-Comte d’autre part, écrit le plus possible en espérant pouvoir placer une nouvelle ou un roman chez un éditeur.
Et de fait, dès février 1941 il est contacté par les Éditions Le Pont qui veulent lancer un nouvel hebdomadaire, Les Ondes, donnant les programmes de Radio-Paris. La rédaction lui demande un roman, de préférence encore inédit, à faire paraître en épisodes. On ne sait pas si cette maison d’édition l’a fait de sa propre initiative ou si c’est Raymond Moritz, dessinateur, qui les a dirigés vers notre auteur. Heureusement pour Simenon, il a un roman tout prêt, qu’il a commencé lors de l’hiver 1939-1940 et achevé le 31 janvier 1940 : La Maison du juge.
Que vient faire le nom de Raymond Moritz dans cette explication ? Moritz est un peintre, né à Paris le 8 juillet 1881 et décédé dans la même ville en mai 1950. Il est connu en tant que paysagiste et laisse beaucoup de tableaux de la région de Picardie. L’artiste est en réalité bien mieux connu pour ses talents de dessinateur-illustrateur. C’est en tant que tel que nous le connaissons déjà puisqu’il a illustré grand nombre de fascicules de la série Police Film-Police Roman et donc aussi celles écrites par Georges Simenon. Moritz a bonne réputation car il collabore également dans Le Pèlerin, L’illustration et Bernadette, toutes des publications de la « Bonne Presse ». Simenon décide donc de répondre par la positive à cet éditeur et La Maison du Juge parait dans l’hebdomadaire Les Ondes du 27 avril au 31 août 1941, soit du n° 1 au n°19, illustré à chaque fois par plusieurs dessins de Raymond Moritz. Cette publication est une préoriginale puisque le volume contenant ce roman sort de presse le 15 octobre 1942 ; il a pour titre Maigret revient.
Comme indiqué plus haut, l’hebdomadaire Les Ondes est avant-tout destiné à faire connaître les programmes de Radio Paris, qui est l’ancienne radio nationale, que les Allemands ont accaparée dès 1940, à l’insu de tous, pour faire leur propagande. Cette radio est prise au sérieux car on peut y entendre aussi bien Tino Rossi que Maurice Chevalier. Afin d’augmenter l’écoute, les responsables décident donc de créer un hebdomadaire tous horizons qui reprend des articles sur la mode, le sport, des jeux et… des romans paraissant en épisodes. Le rédacteur en chef de cette publication n’est personne d’autre que Pierre Hiégel, homme de presse reconnu pour son sérieux. Les Allemands ont créé volontairement une confusion chez le public, qui ignore le lien avec l’occupant. C’est donc tout naturellement que Simenon répond favorablement à la demande du journal Les Ondes et fait paraître chez eux, dès les premiers numéros, La Maison du Juge, roman dans lequel Maigret est muté en Vendée.
Mais on peut se demander pourquoi la rédaction des Ondes s'est adressée précisément au père de Maigret pour son premier roman feuilleton. Ce fait est incertain ; il est vraisemblable que Raymond Moritz y soit pour quelque chose. En effet, tout comme pour les premiers numéros de Police-Roman également illustrés par ce dessinateur, le Maigret de Simenon doit servir d’accroche-lecteur. Je n’en veux pour preuve que le concours qui paraît toujours en dos de couverture du journal, « Quel âge donnerez-vous au commissaire Maigret », un concours qui démarre au numéro 1 et se répète à chaque nouveau numéro, et qui peut rapporter un total de 50.000 francs aux gagnants, soit 10.000 francs pour le premier et puis de moins en moins pour les suivants ; cette somme totale est en 1941 une somme importante. Ce contrat est favorable pour tous, Simenon reçoit ses droits d’auteur, Les Ondes voit son tirage augmenter sérieusement et le lecteur… retrouve Maigret. (Phlippe Proost)

lunedì 1 marzo 2021

SIMENON SIMENON. LA FATTORIA DEL "COUP DE VAGUE", ULTIMO GIOELLO DI UNO STERMINATO SIMENON

Articolo 21
- 28/02/2021 - Sandro Marucci
- Con Maigret o senza Maigret, George Simenon ha scritto sempre, tutti i giorni, ha scritto tanti libri di tutti i generi quante donne si è portato a letto, anche queste di tutti i generi: cameriere, ballerine, turiste, cocottes, signore altolocate: lo ha raccontato minuziosamente in un’autobiografia personalissima, anche questa pubblicata da Adelphi. 
Il pezzo forte sono i quindici volumi I Maigret pubblicati qualche anno fa con cinque racconti a numero, solo qui settantacinque inchieste del commissario più famoso di Francia, che al cinema ebbe in patria il volto di Jean Gabin e da noi il non meno efficace Gino Cervi. Chi vuol leggere “tutto Maigret” con questi volumoni è già a buon punto. Ma non creda di aver letto “tutto Simenon”. La fattoria del coup de vague, ultimo gioiello di...>>>