SIMENON SIMENON. AFTER THE ANTHROPOMETRIC BALL EXCERPTS FROM ARTICLES IN THE PRESS AT THAT TIME
On February 20, 1931 marks an important date in the chronology of Simenon: it is in effect on that date that takes place the famous Anthropometric Ball which consecrates the launch of the new collection Maigret by Fayard
SIMENON SIMENON. DOPO "LE BAL ANTHROPOMETRIQUE": ESTRATTI DA ALCUNI ARTICOLI DELLA STAMPA DELL'EPOCA
Il 20 febbraio 1931 segna una data importante nella cronologia simenoniana: infatti è in questo giorno che ha avuto luogo il famoso Bal Anthropométrique che consacra il lancio della nuova collezione Maigret per i tipi di Fayard
Francis Lacassin, dans son livre Simenon et la vraie naissance de Maigret, évoque quelques-uns des échos de presse, en particulier celui de Pierre Lazareff dans Paris-Midi et celui d'Odette Pannetier dans Candide. Mais de nombreux autres journaux avaient publié des comptes-rendus, et grâce au site des archives en ligne de la Bibliothèque nationale de France (http://gallica.bnf.fr/), j'ai trouvé d'autres articles, dont je vous donne ici un aperçu.
Avant le Bal parurent plusieurs communiqués de presse pour faire l'annonce de l'événement, et le journal culturel Comœdia, sous la plume d'un certain A.W., déclarait, photo du romancier à l'appui, que le Bal anthropométrique serait "le grand événement du Carnaval de cette année, si pauvre en bals et fêtes de ce genre.". Le 22 février, le même journal, toujours sous la même plume, déclarait: "Le Bal anthropométrique a eu un succès éclatant. Il y avait longtemps qu'on ne s'était autant amusé à Paris et avec autant d'entrain. […] Nous en reparlerons", annonçait le chroniqueur, et c'était chose faite le lendemain, avec tout un article titré "La «crise» n'a pas empêché le Bal anthropométrique." Et A.W. de raconter l'événement: "Dès l'ouverture des portes, la salle était trop petite pour contenir tous les invités. [...] On prenait, à l'entrée, les empreintes digitales des arrivants de qualité. Pour Damia, on prit, en rouge, l'empreinte de ses lèvres. […] On dansait pressés les uns contre les autres. […] Et quelle chaleur ! Et quel vacarme soutenu par l'orchestre antillais et un haut-parleur tonitruant ! Et saura-t-on jamais le nombre de bouteilles qui furent bues hier; les foudres de champagne, les tonneaux de whisky.[…] Ni l'entrain ni la gaîté ne se ralentirent de toute la nuit. A sept heures du matin, les derniers survivants découpaient des poulets et saluaient le verre en main le petit jour de février qui se levait."
Dans le journal Paris-Soir du 22 février, c'est un certain Claude Dhérelle qui donnait à son tour sa version des faits: "Il n'était pas une heure encore, que les cent mètres carrés de la maison contenaient mille personnes. […] Deux heures… concours de maquillage. […] Dans un coin, Georges Simenon, courageux, dédicaçait des montagnes de ses deux livres […]. Il ne semblait pas s'apercevoir – vers quatre heures du matin […], que le dernier carré des inlassables se livrait à quelques excentricités bruyantes dans lesquelles les cris, les hurlements, le champagne, et un nudisme artistique avaient leur part. Dès quatre heures dix, il valait mieux ne plus regarder… Je suis resté jusqu'à cinq heures !"
Murielle Wenger
Voilà donc faire de la recherche!
RispondiEliminaQuesto commento è stato eliminato dall'autore.
RispondiEliminaqualche link(quelques liens)
RispondiEliminahttp://www.simenon-simenon.com/2014/12/simenon-simenon-ma-luomo-che-non-era.html
http://www.simenon-simenon.com/2013/02/simenon-un-certo-20-febbraio-1931.html